Lorsque des catastrophes naturelles surviennent, les plateformes de médias sociaux comme Facebook et X (anciennement Twitter) peuvent être utiles pour partager des informations. Cependant, les secouristes et les représentants du gouvernement ont souvent du mal à faire entendre leurs messages au milieu de tout ce bruit.
Une étude de l’Institut de technologie Stevens a révélé que lors de quatre ouragans majeurs, les messages de sécurité importants étaient éclipsés par des messages moins importants, comme les personnes partageant des histoires d’animaux ou discutant de politique.
Cela rend difficile pour les fonctionnaires de communiquer efficacement avec les personnes qui ont besoin d’aide, selon le Dr José Ramirez-Marquez.
Il compare cela à une fête bruyante où il est difficile d’entendre quelqu’un parler parce que tout le monde se dispute. Le Dr Ramirez-Marquez et le doctorant Yefang Liang ont étudié les tweets lors des ouragans Harvey, Imelda, Laura et Florence. Ils ont constaté que de nombreux sujets abordés lors de ces événements n’avaient rien à voir avec la sécurité.
Tout le monde s’inquiète pour les chiens
Par exemple, lors de l’ouragan Harvey, les discussions sur les chiens touchés par les inondations figuraient parmi les sujets les plus abordés, alors que seuls quelques-uns portaient sur la sécurité publique. Cette tendance s’est poursuivie lors d’autres tempêtes, où des sujets tels que les histoires d’animaux ou les débats politiques ont retenu l’essentiel de l’attention, laissant peu de place aux informations critiques en matière de sécurité.
Le Dr Ramirez-Marquez a souligné que si les médias sociaux sont remplis de bavardages insignifiants, il devient plus difficile de remarquer les messages importants. Ses recherches suggèrent que les responsables pourraient améliorer les chances de faire passer les messages de sécurité en les combinant avec des messages descriptifs sur les tempêtes. Il est également essentiel que les responsables restent concentrés et évitent de se laisser distraire par les discussions politiques.
Malgré ces stratégies, il reste difficile d’atteindre les gens via les réseaux sociaux lors de catastrophes, car de nombreux utilisateurs préfèrent les contenus légers. Pour aider, les plateformes de médias sociaux pourraient promouvoir des messages officiels de sécurité auprès des communautés touchées tout en permettant des conversations informelles ailleurs.
L’étude met également en évidence les vulnérabilités des médias sociaux. Si les bavardages inoffensifs constituent un problème, les fausses informations peuvent également se propager rapidement. Le Dr Ramirez-Marquez a souligné des cas récents de désinformation lors de catastrophes, démontrant que les réseaux sociaux doivent s’attaquer à ce problème.
Pour améliorer la confiance et réduire la désinformation, les plateformes de médias sociaux pourraient aider les utilisateurs à identifier les sources fiables et à filtrer les distractions. Le Dr Ramirez-Marquez estime que les réseaux sociaux doivent prendre l’initiative de rétablir la confiance en ligne, car les responsables gouvernementaux ne peuvent pas y remédier seuls.
Ce sujet vous a fasciné vous apprécierez également ces livres:
Livre de cuisine/Boissons/Limonade au sureau.,Référence litéraire de cet ouvrage.
Vous pouvez tirer profit de ce post traitant le sujet "Défense des assurés". Il est identifié par l’équipe infosassur.com. La chronique a été reproduite de la manière la plus honnête que possible. Afin d’émettre des observations sur ce dossier autour du sujet "Défense des assurés", veuillez utiliser les contacts affichés sur notre site. infosassur.com est blog numérique qui comporte diverses actualités publiées sur le net dont le thème central est "Défense des assurés". Connectez-vous sur notre site infosassur.com et nos réseaux sociaux afin d'être renseigné des nouvelles parutions.